samedi 14 février 2015

Samedi 14 février: arrivée nuit dernière sous des tonnerres d'applaudissement !



Dernière journée de cette super transat : peu de vent, préparation du bateau : hisser les divers pavillons, regarder en détail la nav près de la martinique, douche, lavage cheveux avec le peu d'eau minérale restante, tenue propre pour cette grande occasion. Dernière bourde : à 13h, suis partie dormir 2 heures et quand je me suis réveillée nous faisions du nord au lieu de faire de l'ouest, ce qui a permis au bateau que nous venions de doubler de repasser devant nous et à beaucoup de gens de se demander si nous n'allions pas mouiller dans une crique en attendant le lever du soleil ... dernière engueulade, dernier énervement, dernière bouderie, dernière frustration, avant le stress de l'arrivée, et le retour brutal à la civilisation et aux gens. Ce retour aura été d'autant plus soudain pour nous que nous avons été accueillis comme des stars ! Le zodiac accompagnateur nous attendait de pied ferme, heureusement car dur dur de refaire du près après 3 semaines de portant. Un peu avant la ligne d'arrivée mes amis Jean-Pierre, Sophie, François, Isaac et Emma nous attendaient en zodiac pour nous applaudir et nous soutenir, une fois la ligne d'arrivée franchie, vers 23h30, à quelques dizaines de mètre sur une plage devant le club med, près de 200 personnes nous attendaient pour nous recevoir sous un tonnerre d’applaudissements et de hourra ... quelle stupéfaction ! Vous les avez payé cher ? Puis au ponton mon papounet et ma mamounette entourés d'une trentaine de concurrents nous ont accueilli avec un ti punch offert par l'organisation transquadra.
Une heure de papotage, puis je suis allée dormir chez mes parents, j'y ai coché la case "douche" puis à midi après le rangement du bateau je cocherai la case "bon repas" et enfin à 16h je retrouve mes enfants.

Je ne pensais pas pouvoir être autant portée et soutenue, c'est vraiment incroyable. Merci énormément à tous, vous êtes formidables, à bientôt pour de nouvelles aventures,

Valérie !

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